Avis de décès
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Toutes nos pensées sont tournées vers vous pour vous apporter un peu de réconfort dans l'épreuve que vous vivez.

Sachez que dans le deuil vous n'êtes pas seuls puisque vous pouvez compter sur notre sincère amitié.

Veuillez accepter nos plus sincères condoléances.


Diane Rufiange et Fernand Major

Anne, Antoine et toute ta famille, je vous souhaite mes plus sincères condoléances.

Je suis triste de n'avoir pas pu aller te voir avant que tu partes, Jacques. Je t'ai manqué de deux semaines. On avait prévu y aller Michel, Roberte et moi. Avec ma fille, Éva, que tu as rencontré à la fête des Sirois, et que tu as sûrement vu en photo chez Marcelle. C'aurait été toute une aventure. On s'y préparait avec plaisir. On avait hâte. Mais tu es parti -si vite!- mais c'est probablement mieux comme ça. Enfin, il parait.

J'aurais aimé aller te voir Jacques, parce qu'on était toujours si bienvenu chez toi. Je me souviens de mon dernier passage à Pointe-au-Père. J'arrivais de Montréal en vélo avec une amie. On avait mal partout, surtout moi! Je ne pouvais plus m'asseoir correctement à table! Tu as bien ri de moi, en bon Sirois que tu es, mais tu nous as aussi reçu comme des reines. Je me souviens qu'au fil des discussions, mon amie acadienne et Anne s'étaient trouvé des liens de parenté. Je me souviens qu'on avait jasé de tout et de rien. Qu'on avait refait le monde. Je me souviens qu'on était bien.

Quand on s'est parlé au téléphone et que tu m'as dit que tu étais malade, tu m'as aussi avoué que tu regrettais de ne pas pouvoir voir l'indépendance du Québec de ton vivant. J'aimerais pouvoir te rassurer là-dessus cher Jacques, mais je ne crois pas que je la verrai non plus. Ce que je sais par contre, c'est que dans cette province qui ne se souvient de rien, toi, Jacques, nous ne t'oublierons pas.

Je suis triste Jacques de t'avoir manqué de si peu. Je t'aurais dit que tu étais mon parrain unique et préféré. Je vais aller te voir samedi, en souvenir, et avec ceux et celles que tu aimes, on va se rappeler de toi ensemble.

Repose en paix.

Léane

Au nom de la famille Dumont, enfants de Guy et de Thérèse, je viens vous offrir toutes nos sympathies à cette triste occasion. Nous gardons tous un touchant souvenir de nos visites dans votre famille alors qu'enfants c'était la fête d'aller chez mon oncle Albert à Macamic où nous étions si bien reçus. Louise se joint à moi pour faire une accolade spéciale à Isabelle et à Michel. Nos condoléances les plus profondes, vous habiterez nos pensées samedi prochain.
Raymond Dumont

Mes sympathies à toi Anne à Antoine et sa conjointe et à Clara et Zack également à toute la famille Sirois....de plus au membres de ta famille, puisque s'ils l'ont connu comme moi ils le savaient authentique....moi je le connaissais depuis 1974 lors de notre entré à la Régie....qui lui a d'ailleurs permis de te rencontrer et moi de rencontrer Louise....
puis il est parti pour Rimouski.....Drapeauville, comme il disait à ce moment -là, n'était pas fait pour lui, plus tard t'es allée le rejoindre.Dans les dernières années nos communications étaient fréquentes ''malgré'' nos divergences au sujet de nos équipes favorites au hockey et au football nous restions sur la même longueur d'ondes au niveau politique....
Il restera toujours dans ma mémoire comme le frère que je n'ai pas eu.
Bon courage Anne et au plaisirs de se voir.
Louise et Pierre-Paul

Chère Anne,

C’est avec peine que j´ai appris cette triste nouvelle. Je te souhaite du courage et d’être entourée comme c’est nécessaire. Prends soin de toi.

Meilleures pensées d’une vieille compagne de travail qui garde un excellent souvenir de toi.

Monique Gagnon xx

Au nom de la famille de Cécile Bédard de Macamic, nous vous offrons nos plus sincères condoléances pour le décès de votre cher Jacques. La vie est si fragile!
Les Sirois et les Bédard ont été rassemblés par certains événements dont le travail de notre père qui passait le pain dans les années 1940. Nous allions jouer avec les chats dans les locaux à l’arrière de la boulangerie. Que ça sentait bon le pain frais cuit. Nous nous sommes revus lors de l’anniversaire des 100 ans de tante Thérèse Raymond à Rouyn. Tendresse!